La société de gestion du groupe devient Ambra Capital, réunissant les expertises d’Anaxago Capital et de CapHorn Invest. Anaxago poursuit son développement avec une nouvelle dynamique, élargit ses classes d’actifs et propose des solutions adaptées à des marchés plus attentistes.
Vous l’avez peut-être vu passer : la société de gestion du groupe a désormais un nouveau nom, Ambra Capital. Rien ne change pour vous, mais côté coulisses, c’est un vrai mouvement stratégique.
Ambra regroupe dorénavant les expertises d’Anaxago Capital et de CapHorn Invest, sous la houlette de Joachim Dupont, qui prend son élan avec 750 millions d’euros sous gestion, une équipe ultra-investie depuis trois ans, et plusieurs projets qui mijotent discrètement. Parmi eux : l’arrivée de Vincent Lâchene (ex–M Capital), chargé de structurer un réseau solide de partenaires et de LPs.
Ambra continuera d’opérer en private equity, dette privée, immobilier et venture, avec ses convictions habituelles et un engagement intact.
Et moi dans tout ça ? Je continue avec Anaxago, aux côtés de ma nouvelle équipe de direction, renforcée depuis six mois et dont je vous parlerai très bientôt. Nous profitons de cette nouvelle dynamique pour ouvrir Anaxago à de nouvelles classes d’actifs, alignées avec nos convictions pour les mois à venir. Bref, ça bouge dans le bon sens.
Marchés attentistes, investisseurs pragmatiques : les opportunités du moment
Depuis plusieurs années (et plus encore depuis la dissolution), marchés, opérateurs et investisseurs avancent avec prudence. Dans ce contexte, après l’attrait pour les stratégies long terme — notamment le private equity — il nous paraît essentiel de rééquilibrer vers des solutions court terme ou à distribution régulière.
C’est exactement ce que nous mettons en avant en ce moment :
- Des clubs deals immobiliers avec des horizons très courts, comme celui-ci dont la sortie est prévue sous 9 mois ; [Voir le Club Deal Immo 9 mois]
- Des opérations avec des opérateurs plébiscités chez nous depuis de longues années, comme celui-ci offrant des distributions mensuelles des intérêts ; [Voir le Club Deal Immo a distribution mensuelle]
- Et des solutions à capital garanti, à l’image de ce fonds structuré avec 100 % de protection à maturité et des remboursements semestriels. [Voir le fonds structuré à capital garanti]
De quoi aborder les deux prochaines années qui promettent d’être sportives, notamment avec les élections, avec un peu plus de sérénité.
NB : Chaque situation mérite un éclairage sur mesure, nos équipes sont à votre disposition, n'hésitez pas à prendre rendez-vous ici.
Fiscalité des produits structurés : ce qu’il faut vraiment retenir
C’est une question qui revient souvent : comment sont imposés les produits structurés ?
La réponse dépend de l’enveloppe dans laquelle vous les logez, puisque juridiquement, un produit structuré est un titre de créance (donc coupons, primes, plus-values… et règles fiscales à la clé).
Voici l’essentiel, sans fioritures :
➤ Compte-titres ordinaire (CTO)
- Imposition immédiate : PFU de 30 % sur coupons et plus-values (ou barème sur option).
Les moins-values, elles, peuvent s’imputer ou se reporter dix ans.
➤ Assurance-vie
- Aucune imposition tant qu’il n’y a pas de retrait.
Lors d’un rachat, seule la part correspondant aux gains est taxée, avec une fiscalité nettement plus avantageuse après huit ans.
Bonus : un cadre successoral précieux.
➤ PEA
- Pas d’imposition tant que le plan reste ouvert.
- Avant 5 ans : retrait = clôture + taxation à 30 %.
- Après 5 ans : gains exonérés d’impôt sur le revenu (seuls les prélèvements sociaux s’appliquent).
- Petit bémol : peu de produits structurés sont éligibles.
En clair :
Le CTO est souple mais impose tout, tout de suite. L’assurance-vie gagne sur la durée.
Culture & Food : Elvira Masson, toujours
J’ai attendu le dernier épisode de Ressentir avec Elvira Masson comme on attend un dessert annoncé mais pas encore servi. L’extrait m’avait déjà transportée : son rapport à l’alimentation et la gastronomie — sincère, joyeux, sans effet de manche — me parle toujours autant.
L’écoute intégrale hier soir n’a fait que confirmer : passionnant de replonger dans les débuts presque dissidents du Fooding, dans l’évolution des métiers de bouche et dans l’art exigeant du journalisme culinaire.
Et maintenant ? Je trépigne pour On va déguster, ce matin sur France Inter, consacré à son dernier livre Cuisiner pour soi. Si je disparais quelques heures, vous saurez pourquoi.