#223 Visiter

J’espère que vous avez profité pleinement de ce bel été ensoleillé, et que votre rentrée s’annonce stimulante. Chez Anaxago, elle démarre sur les chapeaux de roue : dans quelques jours s’ouvrira l’accès à un investissement d’exception.

Il s’agit sans doute de l’un des plus beaux actifs que j’ai eu la chance de découvrir cette année : un hôtel particulier à la façade néo-classique inspirée de la Renaissance italienne, niché au cœur du QCA parisien, avec plus de 800 m² d’espaces extérieurs(cour d’honneur et jardin).
Je piaffe d’impatience à l’idée de le visiter pour la première fois jeudi matin, lors d’une visite privée réservée à quelques clients. 

Si vous souhaitez en être, écrivez-moi en cliquant ici — je ferai mon possible pour vous ajouter à la liste des invités.
À noter : ce club deal immobilier bénéficie de l’éligibilité au dispositif de réemploi du produit de cession 150-0 B Ter — une rareté.

Mes lectures de l’été

J’ai profité d’une vraie parenthèse cet été pour lire, beaucoup lire. Voici mes découvertes et coups de cœur (ou déconvenues !) :

• • Empire of the Elite : un regard passionnant et nuancé sur Condé Nast, bien plus objectif que la biographie de Graydon Carter que j’avais dévorée cet hiver. À lire absolument pour comprendre les bouleversements de la presse, d’internet à l’IA générative.
• • Kingmaker: Pamela Harriman's Astonishing Life of Power : une biographie trépidante de l’ancienne bru de Churchill, entre Blitz, Gianni Agnelli, Bill Clinton et diplomatie américaine. Parfait pour le bord de piscine.
• • Où vivaient les gens heureux — Joyce Maynard : une claque. Juste, puissant, parfois agaçant (on a envie de secouer l’héroïne tout au long du livre). Mais c’est éclatant de justesse sur l’amour maternel et les relations de couple.… bouleversant.
• • Les Sept Maris d'Evelyn Hugo : plus profond qu’il n’y paraît, très distrayant, à mon avis vaut plus le coup en anglais, la traduction est un peu bâclée et fait un peu andouille. Mais belle découverte.
• • The Next Day — Melinda French Gates : au début on y va pour les détails du divorce avec Bill Gates (let’s be honest). On reste pour un livre qui parle à tous avec beaucoup de poésie et une très jolie approche du « next Day » le jour après le drame, l’évènement, le changement. Littéralement car elle cite des poèmes tout au long de l’ouvrage et donne envie de découvrir leurs auteurs. Vraiment très agréable à lire, très réussi.
• • Les 4 accords toltèques : un classique de la sagesse pratique, limpide, à relire régulièrement.

Après tout ça, je me suis lancée le défi de lire tous les livres démarrés ou jamais lus dans mon Kindle — il y en a une centaine.

• • Tal Ben-Shahar : cent propositions claires pour mieux vivre — une vraie référence du développement personnel sans fioritures. Recommandée par une amie qui est ma référence pour les contenus de développement personnel sans bullshit. Très bien aussi, à prendre en papier en priorité.
• • Petit Pays — Gaël Faye : que je n’avais pas encore osé ouvrir, peur que ce soit trop dur ou trop triste sans doute. Mais j’ai adoré et j’ai hâte d’enchaîner avec Jacaranda que ma petite soeur m’a offert pour mon anniversaire.
• • Spare — Prince Harry : Nul, vraiment n’y allez pas (oui j'aurais dû m'en douter). Je ne comprends même pas que ses conseillers en com le laissent écrire des choses pareilles.Déception totale, à éviter. 

Je suis restée dans la même veine avec The Diana Chronicles. Je l’avais commandé surtout à cause de son auteure : Tina Brown. C’est une de mes idoles de la presse, elle a été une rédactrice en chef iconique chez Vanity Fair puis au New Yorker, la toute première vraie étoile de la galaxie Condé Nast. Aujourd’hui, elle écrit une newsletter très suivie que je vous recommande !

J’ai terminé l’été avec quelques livres de James Salter, contemporain d’Hemingway et Fitzgerald. J’ai adoré Un bonheur parfait, et je lis actuellement Une vie à brûler, son autobiographie.

Et pour finir, je compte bien terminer ce dernier week-end de congés avec cette recette qui fait honneur aux légumes d’été, tout en apportant le réconfort nécessaire à cette météo maussade. Excellente rentrée — ravie de vous retrouver !