Parce qu’aucun d’entre vous n’ignore ce qu’est "faire un Lydia" et c’est un peu ça le coup de maitre de Cyril et Antoine, les fondateurs.
Cette semaine, nouvel épisode d’Argent Conté. Une interview qui me démangeait depuis longtemps : Cyril Chiche, le patron et fondateur de Lydia. Depuis quelques mois, on a vu mué Lydia, grandir, bouger, changer, et donner naissance à une petite sœur : Sumeria. Avec Sumeria, Cyril et Antoine cherchent encore à révolutionner les usages, et cette fois notre manière d’appréhender notre relation à l’argent et à l’épargne. Et c’est de ça dont nous avons parlé dans cet épisode enregistré en direct lors de l'évènement Fintech Révolution qui se tenait la semaine dernière à la Mutualité. Bonne écoute !
Petite vidéo fascinante apparue cette semaine dans mon feed : « quand on se balade dans une rue de la Rome Antique, il faut un peu imaginer la Rue de Rivoli à Paris » très loin de notre imaginaire construit sur les restes du somptueux forum (l’une de mes visites préférées en Italie, profondément apaisante) laissant présager d’un environnement calme et majestueux. Ce mini cours d’histoire de France Culture nous embarque dans la construction et l’usage des premiers immeubles de notre ère, passionnant !
Depuis la Rome Antique, tout a changé et rien n’a changé. Le besoin en logements, habitations et lieux de travail reste majeur dans les grandes métropoles en tension. Ces mêmes villes souffrent d’un parc immobilier en voie d’obsolescence rapide et le besoin en rénovation des actifs cœurs de ville se fait de plus en plus sentir. C’est la thèse que nous défendons depuis toujours avec nos fonds Society, ces véhicules d’investissement vous permettent de miser sur plusieurs opérations immobilières en cœur de ville aux côtés d’opérateurs spécialisés. Si le sujet vous intéresse, rendez-vous ici pour plus d’informations.
Cette semaine, l’une de mes amies les plus chères a réalisé l’un de mes rêves : assister à la séance solennelle de rentrée des cinq académies à l’Institut de France. La séance solennelle a lieu tous les ans, le mardi le plus proche du 25 octobre. L’Institut de France a été créé le 25 octobre 1795 ou 3 Brumaire an IV selon le calendrier révolutionnaire. Il rassemble les élites scientifiques, littéraires et artistiques de la nation afin qu'elles travaillent ensemble à perfectionner les sciences et les arts, à développer une réflexion indépendante et à conseiller les pouvoirs publics. Après notre installation, les académiciens, revêtus de leur habit vert, ont descendu les marches au son des tambours de la garde républicaine. J’étais plus émue que jamais, d’entendre les délégués des cinq académies rivaliser d'intelligence et de réthorique dans des discours tous dédiés au thème choisi cette année : « Migrer ». Les discours seront mis à disposition bientôt dans leur intégralité sur le site de l’Institut (je vous ai mis pris une photo du programme, en avant-goût, ici). Je m’empresse de mon côté de m’inscrire aux cycles de conférence prévus cette année…
Cette semaine marque également le retour de Caroline Goldman et de ses podcasts-conseils sur l’éducation et la psychologie enfantine. Celui sur les écrans, une petite écoute de 10 minutes, m’a complètement retourné le cerveau. Je ne m’attendais pas à ce discours, mais tout me parle en lui. Je le recommande vivement. Et je n’ai qu’une hâte, c'est que mes enfants soient en âge d’écouter ses petites leçons à destination des 4-7 ans, des minis épisodes à écouter en famille. Elle y aborde le bonheur, la confiance, la folie, les gentils et les méchants, l’importance de prendre soin de soi et de son corps, de rire, de jouer et de rêver… Vous pouvez retrouver gratuitement l'épisode sur le bonheur ici, puis l’ensemble des 8 épisodes du coffret audio sont disponibles sur son site.
Les premiers frimas sont là et avec eux une envie totale de plats réconfortants, il parait d’ailleurs que le dernier livre d’Ottolenghi intitulé « Comfort » est absolument top. Dans l’un de mes podcasts préférés, l’intervieweuse demande à chacun de ses invités « quel est le plat qui sauve de tout ? » et j’adore cette question. Chez moi ça fonctionne par cycle, un plat sera mon réconfort pour plusieurs mois avant que je passe à un autre. En ce moment, c'est celui-ci. C’est terrible, à chaque fois que je le prépare je me dis que ce n’est ni très fin, ni très délicat (tous les ingrédients se trouvent dans le premier supermarché venu, c'est peut-être ça qui le rend aussi sympathique d'ailleurs), ni particulièrement joli, mais j’y reviens tout de même et je m’en délecte. Sûrement parce que je ne maîtrise pas encore totalement la cuisson des gnocchis dans cette recette (à mon avis 15 minutes à 200 ça suffit, ou peut-être 20 à 180, à tester selon votre four), et que ça m’énerve. Je refais donc. Et j’espère que vous aussi.
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