Une newsletter dédiée à l'investissement et aux finances personnelles, chaque dimanche dans vos emails. Avec un zeste de lifestyle et recommandations gourmandes et culturelles pour agrémenter le tout !
Cool
Bonjour à tous, si je trouve de plus en plus difficile par les temps qui courent de vous écrire avec légèreté chaque dimanche matin, je suis heureuse de partager avec vous le contenu de cette dernière newsletter. La 140ᵉ édition de ma chronique hebdomadaire...
Ce sont les vacances (ou presque) pour tout le monde ! L’occasion de se plonger dans ce petit podcast qui me faisait de l’œil et que j’ai adoré écouter : l’histoire de l’emblème des vacances, le club Méditerranée pour ne pas le nommer ! On y entend comment le Club a démarré : asso de loi 1901, avec 12 paires de palmes pour 500 vacanciers dans un village de toile sur une plage corse. Et, franchement, c'est délicieux. Tout y passe, même la légende qu’en ont fait les Bronzés (après lui avoir porté un petit coup réputationnel certain). J’ai passé un encore meilleur moment que je ne l’imaginais.
Le private equity est depuis toujours la chasse gardée des investisseurs professionnels et des grandes fortunes. Il faut dire que les barrières à l’entrée sont importantes : ticket minimal de quelques centaines de milliers d’euros, frais d’entrée importants, difficulté pour sélectionner les bonnes opportunités, etc. Les chiffres sont d’ailleurs frappants : le private equity représente près de 20 % du patrimoine des investisseurs privilégiés, et nettement moins de 1 % du patrimoine des épargnants français. Cela fait des années qu’Anaxago œuvre pour que tout cela change : en rendant accessible le private equity au plus grand nombre d’abord avec nos clubs deals (accessibles à partir de 1000 €) et maintenant nos fonds d’investissement maison (accessibles à partir de 10 000 €). Notre dernier millésime en date s’attaque au sujet de la réhabilitation d’actifs immobilier de qualité en cœur de ville. Une question qui nous passionne tant le parc immobilier ancien regorge d’opportunités qui doivent se réinventer avant de penser à construire plus. Détails ci-dessous.
Le LBO est-il le nouveau cool ? Après le private equity, le LBO. Décidemment ce dimanche je ne vous épargne rien ! Vous savez, le LBO ce truc pas sexy qui fleure bon la PME industrielle de province. Et bien, détrompez-vous, ce serait désormais la nouvelle tendance à suivre, alternative à la levée des fonds pour les Startups. Vous savez, les rentables, celles dont on n'entendait pas parler jusqu’ici et qui dorénavant se financent de plus en plus souvent par ce biais. L’article est long, mais complet et pédagogique, vous pouvez même l’écouter si vous avez la flemme de lire. Que demander de plus ?
Comme beaucoup d’entre vous l’avaient deviné, je me suis embarquée la semaine dernière dans un petit délire bobo bio : une cure de jeûne dans un centre détox en plein cœur du Vercors. Outre que j’en reviens amincie, reposée et particulièrement heureuse de toutes les belles rencontres de ma semaine, j’en tire également une palanquée de conseils simples pour une routine plus saine que j’ai mixés avec l’une de mes récentes lectures (de qualité, on ne rit pas) pour en faire un petit planning pour cet été que je me permets de partager avec vous ci-dessous. Ça n’intéresse sans doute pas tout le monde, mais le truc fait ses preuves donc…
Et, après vous avoir parlé régime, j'enchaîne bien évidemment à ma passion alimentaire du moment : l'onigiri. Ces divines bouchées de riz, street food japonaise, joufflues, mais délicates, dont certaines adresses parisiennes ont fait leur spécialité. Quelques gargotes à tester d’urgence ci-dessous.
PS : Anaxago est la recherche de son nouveau directeur financier ! La fiche de poste est par ici, n'hésitez pas à postuler si vous êtes concerné.e ou à la transmettre si vous connaissez des candidat.e.s intéressés !
L'OPPORTUNITÉ DE LA SEMAINE
Fonds Private Equity Immobilier
Comme je vous le disais plus haut, le dernier millésime de notre fonds maison, Society 2023, a pour vocation d'offrir une exposition au marché de la réhabilitation immobilière, de la promotion et de l'immobilier géré. Et, cela en ciblant des actifs bénéficiant d'un effet de rareté.
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Le LBO est-il le nouveau cool ?
Cette semaine, c'est donc un excellent article de la rédaction de Maddyness que je partage avec vous. Ce média réalise un boulot d'une grande qualité qui n'a fait que s'améliorer depuis sa création et je les lis régulièrement avec plaisir !
Le LBO, l’alternative à la levée de fonds
Des startups, qui avaient levé des montants records, déplorent aujourd’hui des pertes abyssales, se voient contraintes de couper dans leurs effectifs, ou ont du mal à lever des fonds sans faire un indésirable down round. Sans compter que, à chaque nouvelle levée, les fondateurs se diluent davantage dans le capital de leur entreprise…
En fonction de leur stade de maturité et de leur situation économique et financière, certaines entreprises ont pourtant accès à des options alternatives qui peuvent se révéler bien plus pertinentes et avantageuses. Le LBO (Leverage Buy Out), c’est-à-dire un rachat avec effet de levier, en est une. Ce montage financier associant l’acquisition de capital dans l’entreprise et un mécanisme d’endettement est parfois regardé avec méfiance. Loin de la spéculation sur les valorisations qui peut exister dans les simples levées de fonds, c’est une option qui peut se révéler très intéressante, tant pour les startups que leurs fondateurs. Lire la suite dans Maddyness
VACANCES
J'oublie tout poupoupidou
Dans l’après Seconde guerre mondiale, une joyeuse bande de copains rêve de soleil, de plongée sous-marine et de dépaysement. Ils imaginent alors un genre de vacances sans précédent : les clubs de vacances. Une utopie qui deviendra bientôt une véritable épopée industrielle, et un succès qui relève du phénomène de société. Des colliers de fleurs et des Gentils Organisateurs, vous êtes bien au Club Méditerranée.
Corfou, Tahiti, Djerba… Vacances de rêve ou vacances de beauf, ces séjours organisés, tout compris, divisent les vacanciers, mais ils disent aussi beaucoup de la société française, de son rapport au tourisme, au voyage, à l’autre.
Retracer l’histoire du Club Méd, c’est traverser les Trente Glorieuses, le développement des loisirs et l’évolution des mœurs des Français.
De la Résistance au tourisme de masse, des organisations de jeunesse au CAC40, plongée en eaux claires, sous le soleil du Club Med. Découvrir le podcast ici.
L'invité débat de l'épisode s'appelle Jean Viard. Il est sociologue, directeur de recherche au CNRS et spécialiste des vacances (meilleur job non?). Et, c'est un des meilleurs intervenants que j'ai entendu sur ce podcast depuis un moment (j'exagère ils sont souvent très bons). Pour écouter cet épisode du podcast, c'est par ici.
BOBO DÉTOX
Jeûne, cure détox et bonnes résolutions
C'est après une semaine passée ici, et la lecture accélérée de ce livre (énorme succès, plus d'un million d'exemplaires vendus, c'est énorme pour un bouquin de ce type...) que je me pose en gourou de la détox avec mes bonnes résolutions pour l'été. Enfin surtout après le visionnage de cette vidéo qui résume le livre en huit minutes trente-deux (il était trop mal écrit, j'en avais mal aux yeux). Que retient-on ? En vrac : le café, c'est très mauvais (grosse surprise) et le moins pire, c'est d'en boire un par jour (de préférence un expresso) entre 11 h et 12 h avant le déjeuner. Le petit-déjeuner, c'est salé (jamais de sucré). Chaque repas démarre 15 minutes avant avec une cuillerée à soupe de vinaigre de cidre diluée dans un verre d'eau (idéalement celui-ci, j'ai rencontré sa créatrice récemment, absolument adorable). Puis, on débute toujours par une crudité avant d'enchainer les aliments dans un ordre précis, légumes, protéines et gras, par la suite les farineux, et enfin, 20 minutes après le repas, on s'active pendant 15 minutes. Si l'on aime vraiment les desserts, on les prend en fin de déjeuner et si une petite fringale sucrée s'impose en journée, on grignote une poignée d'amandes avant pour réduire l'impact glycémique de l'écart. Pour finir, une semaine équilibrée, c'est : se faire plaisir en week-end sans trop se limiter, jeûner du dimanche soir au lundi matin (jeûne intermittent) puis mono-diète le lundi (on ne consomme qu'un seul aliment toute la journée à volonté, fruit, légume ou riz complet, pour reposer l'organisme) enfin on fait attention selon la proposition ci-dessus du mardi au vendredi. Voila j'ai essayé de faire court et ça couvre à peu près tout ce que j'ai noté d'utile au cours de ma semaine santé !
ONIGIRI BABY
Nouvelle passion
Probablement le plus pratique et équilibré des casse-croûtes à la japonaise, l'onigiri est un triangle de riz blanc assaisonné au minimum de sel. Il se décline en variantes et formes infinies. Il peut être farci au choix de thon-mayo, de saumon, d'oeufs de poisson, de prune salée (umeboshi), voire de steak-tartare (si, si, véridique). Le riz se customise selon les goûts de sésame, d'algues en paillettes, de miso (grillé ainsi, il devient un délicieux yaki onigiri), de katsuobushi (feuilles de bonite séchée, un poisson cousin du thon). Ces boulettes farcies se dénichent dans tous les kombini (magasins ouverts 24h/24) nippons, dans des emballages sophistiqués permettant de conservant le craquant de la feuille d'algues nori qui les enveloppe.
J'ai mis longtemps avant de comprendre comment savourer avec un minimum de dignité cette géniale spécialité japonaise, je pense donc vous épargner des heures de lutte avec ce petit tuto à consulter avant de vous rendre ici ou là pour déguster les meilleurs onigiri de Paris. Chez le premier je les aime tous, mais surtout celui au saumon/oeufs de saumon, vraiment divin. Bonus on peut les prendre à emporter (quand on sait qu'il y a toujours la queue dans ce resto ça compte, généralement quand j'y vais c'est que je passe devant à 11h59 et que les portes viennent à peine d'ouvrir) et aller les manger dans les jardins du palais royal tous proches. Chez le second c'est plus simple et plus rustique mais tout aussi excellent. Et cette fois le cadre c'est la place Dauphine, pas mal non plus pour un petit encas en extérieur.